«Derrière les faits divers, ce sont pour moi des faits de société»

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit à la décision de la Commission des libérations conditionnelles (CLCC) de libérer le pédophile multirécidiviste André Faivre.

L'homme de 76 ans, qui dirigeait un «Club social» d’abuseurs d’enfants, devra toutefois respecter une longue liste de conditions.

«Ce qui est absolument aberrant dans le rapport de la commission, c'est qu'il y a des experts, de grands experts, qui l'ont évalué et qui disent que son risque de récidive est de faible à modéré. Il ne fait que ça récidiver. Il y a quelque chose de cassé dans ce système correctionnel. [...] C'est dégoûtant. Ce gars-là devrait être en prison à vie. Point final. Et ne plus avoir droit de sortir.»

- Paul Arcand

Autres sujets abordés

• Pose des pneus d'hiver: les garagistes sont prêts.
• Sans-abris: il y en a partout au Québec et ils sont de plus en plus nombreux à mourir dans la rue...
• CPE: une éducatrice gagne 20 dollars l’heure au Québec, mais 30 dollars l’heure à l’Île-du-Prince-Édouard.
• Le putsch contre Justin Trudeau s’accélère au sein du caucus libéral.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont la baisse de l'inflation et l'augmentation du compte de taxes des Montréalais. 

«À Montréal, les élus préparent les budgets et donc les comptes de taxes. Dans le quotidien Le Devoir ce matin, en gros, la moyenne des comptes de taxes pour les arrondissements est de 3,6%. C'était 9,5% au cours de la dernière année. Alors, ce sont des augmentations importantes. Et il ne faut jamais oublier une chose: c'est par-dessus toutes les augmentations substantielles que les Montréalais ont absorbées et il faut ajouter le compte de taxes qui vient de la Ville-Centre, avec, nous dit-on, cette année, une augmentation de moins de 2%. Mais avec du recul, on voit les hausses depuis cinq ans, des hausses majeures du compte de taxes des Montréalais.»

- Paul Arcand 

Autres sujets abordés

• Même s'ils échouent leur examen à la SAAQ, les nouveaux arrivants peuvent tout de même conduire;
• Télétravail: c'est devenu un mode de vie;
• École Bedford: le clan des intégristes avait pris le contrôle de l’école depuis sept ans; l’employeur et le syndicat se sont écrasés;
• Les délais en francisation au Québec ne cessent d'augmenter;
  Bataille juridique entre la Fédération des médecins spécialistes du Québec et la Régie de l'assurance maladie;
• Justin Trudeau: le député de Charlottetown, Sean Casey est le premier député qui lui demande de démissionner;
• Tensions diplomatiques entre le Canada et l'Inde;
• Trois semaines avant les élections américaines;
• Combien de fois Gary Bettman devra le répéter pour que vous compreniez que le marché de Québec ne l’intéresse pas.

À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont un grand nombre de nouveaux arrivants qui veulent échanger leur permis de conduire pour celui du Québec. Or, même s'ils échouent leur examen à la SAAQ, ces derniers peuvent tout de même conduire, représentant un danger au volant. 

Ce sont des évaluateurs de conduite de la SAAQ qui ont levé un drapeau rouge sur cette pratique. En 2022, 80 000 demandes étaient faites auprès de la société d'État. En 2023, c'était 112 000 demandes. Cette année, on estime que près de 140 000 nouveaux arrivants voudront échanger leur permis de conduire pour celui du Québec. 

Les évaluateurs ont fait état dans leur rapport que certains de ces nouveaux arrivants brûlent des arrêts, coupent des voitures, arrêtent en pleine rue, ne respectent pas les passages pour piétons, ni les limites de vitesse. De son côté, le gouvernement du Québec estime que ces personnes ont besoin de six mois pour s'ajuster au Code de la route québécois. 

 «L'impact, c'est clair, ça affecte la qualité des services. Donc, la demande est extrêmement forte. Mais ce qui est plus grave dans ça, c'est que vous arrivez au Québec, vous avez un permis de conduire de votre pays d'origine. Vous avez six mois pour obtenir un permis officiel de la SAAQ. Pendant les six mois, aucune obligation de prendre des cours de conduite. Pendant les six mois, si vous échouez l'examen de la SAAQ, il n'y a pas de problème, vous pouvez quand même continuer à conduire. Tout ce que vous avez à faire, c'est de prendre un rendez-vous 28 jours plus tard, et payer pour l'examen. Ça coûte 32$.»

- Paul Arcand 

Autres sujets abordés

• Trump/Harris: les Américains votent dans trois semaines;
• De plus en plus de migrants clandestins en provenance du Canada coincés par les autorités américaines;
• Rapport du ministère de l'Éducation concernant l'École Bedford, à Montréal: que fait le Centre de services scolaire de Montréal?
• Le Canada accuse l’Inde de complots pour meurtre, extorsion et autres crimes violents;
• Crime organisé et sols contaminés: des contrats pourraient tomber, des projets pourraient être retardés;
• Santé: un sondage démontre que les Québécois se tournent vers le privé;
• Guerre entre Israël et le Hamas: les soldats israéliens se sont servis de prisonniers palestiniens comme «boucliers humains»;
• Un agresseur sexuel, qui a plaidé coupable à de nombreuses accusations, demeure en liberté en attendant les observations sur la peine en janvier prochain;
• Gaspillage: six milliards de litre de lait ont été jetés en dix ans au Canada;
• Enquête sur les cartes de crédit du gouvernement;
• La NASA lance la mission Europa Clipper;
• Elon Musk récupère le vaisseau spatial Starship.

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont l'école primaire Bedford, située dans le quartier Côte-des-Neiges à Montréal, qui est sous le contrôle d'un clan de professeurs incompétents, rétrogrades et en mission idéologique.

Les premiers cas d'abus dans cette école ont été répertoriés en 2017. Déjà, la tension était palpable entre le clan de professeurs et leurs collègues, qui étaient mal à l'aise face aux «vieilles méthodes utilisées». Par exemple, les professeurs en question n'enseignaient pas la science ni la sexualité, obstruaient les fenêtres dans la classe, refusaient de l'aide d'autres professionnels et utilisaient la «manière forte» avec les autistes. 

Le ministère de l'Éducation a lancé une enquête sur l'école à la suite des reportages diffusés par la journaliste de Cogeco Nouvelles, Valérie Lebeuf. 

«Pendant des années, des enfants ont été humiliés, insultés. Ils ont été privés d'un enseignement de qualité par un clan formé de 11 professeurs, issus du Maghreb. Ce sont des professeurs qui n'ont pas la compétence. Des professeurs qui sont en mission idéologique, pour ne pas dire, dans certains cas, en mission religieuse, et qui au fil des années, ont pris le contrôle de cette école.»

- Paul Arcand

Autres sujets abordés

• Ouragan Milton: la Floride se relève;
• Nouvelles frappes entre l'État hébreu et le Hezbollah qui fait 28 morts au Liban;
• Il y a trop de radiologies au Québec, selon le président de l’Association des radiologistes du Québec, Dr Grégoire Bernèche;
• Le gouvernement Legault réfléchit à l’accessibilité à un médecin de famille : les patients en bonne santé seraient redirigés vers un guichet d’accès première ligne;
• Guerre de gangs : la police dit poliment aux parents de se réveiller et de s’occuper de leurs enfants ;
• Gilbert Rozon veut faire invalider un article de la loi : «vous n’avez pas le droit de me poursuivre 20 ans 30 ans après les faits»;
• 0,05 ou 0,08 ?;
• Le français dans le domaine de la restauration à Montréal;
• La bataille de Couche-Tard pour acheter 7-Eleven;
• Plus de chantiers résidentiels;
• La Banque TD plaide coupable de blanchiment d’argent;
• Le phénomène des aurores boréales;
• Le F.-A.-Gauthier sera en marche pour le 65e anniversaire de la traversée Matane-Baie-Comeau-Godbout.