Le Québec chute dans le classement mondial de l'attractivité pour l'investissement minier.
Selon le rapport de l'institut Fraser, publié au début du mois, la province est passée de la 5e à la 22e position, en un an.
Parmi les raisons évoquées, on compte l'imprévisibilité règlementaire croissante, des signaux contradictoires envoyés aux investisseurs et l'encadrement qui se fait de plus en plus lourd.
En effet, plusieurs incertitudes entourant la validité juridique des titres miniers et les risques accrus de révocation ou de retrait du territoire sont omniprésents dans l'industrie.
Rappelons que les récentes modifications à la Loi sur les mines ne sont pas encore pleinement entrées en vigueur.