Un épisode à écouter avec un verre, pour rougir, rire et se sentir moins seules!

Dans cet épisode des Filles du lunch, Marie-Eve Janvier s’improvise numérologue et révèle les secrets cachés derrière votre adresse civique : amour, fête, pouvoir ou introspection, à vous de découvrir votre profil! Ensuite, avec l’expert François Charron, elles démystifient une panique techno liée à Meta et à l’utilisation des données personnelles. Heureusement, ce sont surtout les Français qui sont ciblés, mais ici aussi, nos données sont loin d’être protégées. François déclenche une crise de panique numérique en exposant à quel point nous « appartenons » aux géants du web, puis partage des conseils pratiques pour un grand ménage techno sans dégâts. Pour finir, en l’honneur de la Journée mondiale des abeilles, elles plongent dans le rôle crucial des pollinisateurs pour notre alimentation.

Dans cet épisode, Marie-Eve Janvier partage son expérience touchante et drôle de sa première sortie « solo » depuis longtemps : un concert d’Alessia Cara. Entre excitation et malaise, elle jongle avec sa tenue trop chic, les vingtenaires autour d’elle, et la culpabilité de maman. Elle se sent un peu « vieille », mais prête à s’assumer pleinement. Pendant ce temps, Maripier Morin tente de faire passer subtilement ses envies de beignes et café glacé à son boss, en usant de stratégies parentales cocasses. L’épisode se conclut sur le témoignage émouvant de Dave Morissette à propos de la Marche de la sobriété et de l’aide des Maisons Péladeau, avant que Maripier ne raconte son défi raté pour se ménager enfin un moment à elle dans le chaos familial.

Dans cet épisode, Geneviève Pettersen analyse l'impact des titres médiatiques, en dénonçant leur pouvoir d'influencer l’opinion publique, notamment dans les cas d'agressions sexuelles. Elle critique la manière dont les choix éditoriaux des médias peuvent déformer la perception des victimes, en insistant sur la notion de "victime parfaite". La discussion s’élargit sur la responsabilité des médias et la gestion des contre-interrogatoires. Marie-Eve et Maripier, pour leur part, abordent leur expérience de tournage à Sucré Salé, mêlant rires et moments de vérité sur leur propre relation, y compris les défis liés au TDAH de Jean-François. Elles partagent aussi leurs réflexions sur l'image des couples idéalisés, dévoilant les défis cachés derrière les façades publiques.