La revue de presse de Paul Arcand. Pour pallier la fin du recours aux agences et au manque criant de main-d'œuvre dans le réseau de la santé, Québec et les syndicats créent une «équipe volante publique» d’infirmières et de préposés aux bénéficiaires. Une nouvelle étude portant sur le prix de l’essence au Québec démontre que certaines régions paient généralement plus cher qu’ailleurs dans la province. Une hausse des hospitalisations liées au cannabis chez les jeunes de moins de 25 ans inquiète des médecins. Mme Bélisle témoigne de son quotidien, alors qu’elle vit avec le trouble d’accumulation compulsive (TAC) et présente une nouveau guide de référence québécois: Surmonter le trouble d’accumulation compulsive. S’aider soi-même, Soutenir, Intervenir, Garder l’espoir.
Autres épisodes
- À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand fait le point sur le conflit chez Air Canada. Au moment d'écrire ces lignes, les agents de bord du transporteur aérien maintiennent leur refus de retourner au travail. En grève depuis samedi, le syndicat a décidé d'ignorer la décision d'Ottawa qui a ordonné la reprise des activités, dimanche. Devant ce refus, Air Canada n'a eu d'autres choix que de repousser son plan de reprise de vols, plongeant de nombreux voyageurs dans l'incertitude. «Les passagers sont passés par toute la gamme des émotions en fin de semaine [...] déception, anxiété [...] et cette frustration de se sentir abandonnés par Air Canada [...] Et en même temps, je pense qu'on comprend la colère des agents de bord, des employés, de ne pas être payés pour toutes les heures travaillées. En 2025, ça n'a aucun sens.» «Air Canada, historiquement, se démarque, se distingue, comme un mauvais employeur, une compagnie aérienne qui protège ses profits au détriment d'un service à la clientèle de qualité [...] Des agents de bord qui travaillent et qui vont chercher 30 000-40 000$ par année, ça n'a aucun sens.» Autres sujets abordés Ukraine : le président Zelensky débarque à la Maison-Blanche flanqué de ses alliés européens; Santé : les projets informatiques dérapent; ça coûte plus cher et les délais s’accumulent; Le vouvoiement à l’école : n’allons pas trop vite, disent les directions d’école.
- À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur le conflit de travail à Air Canada. Au moment d'écrire ces lignes, les négociations entre les 10 000 agents de bord du transporteur aérien et la partie patronale sont au point mort. Des vols sont déjà annulés ce vendredi en prévision de l'échéance des avis de grève et de lock-out à minuit samedi. Une situation qui cause des maux de tête à bien des clients du transporteur à travers le monde. «Entretemps, les voyageurs perdent des milliers de dollars dans ce foutu bordel [...] Ce qui est vraiment odieux, c'est que les autres compagnies aériennes exploitent sans scrupule, sans gêne, les voyageurs qui sont coincés et qui se cherchent des billets d'avion en gonflant les prix.» Quelques recherches rapides permettent de voir que des billets d'avion qui se vendaient 400 dollars en temps normal sont rendus à plus de 2000$. Autres sujets abordés Sommet Trump-Poutine : Donald Trump aimerait avoir le prix Nobel de la Paix; Échec des négociations internationales pour combattre la pollution plastique; L’histoire de Juliette, une enseignante qui ne pourra pas enseigner.
- À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit au conflit de travail entre le transporteur Air Canada et ses 10 000 agents de bord. Des vols seront progressivement annulés par le transporteur aérien jusqu'à samedi, moment où les activités seront interrompues, à moins d'une entente d'ici là. «Les deux parties ne s'entendent pas sur les points les plus importants, c'est-à-dire les augmentations de salaire et aussi sur le fait que les agents de bord veulent être rémunérés pour l'ensemble des heures travaillées, ce qui n'est pas le cas actuellement.» Rappelons qu'un préavis de grève a été déposé par le syndicat représentant les 10 000 agents de bord. Celle-ci pourrait être déclenchée dès samedi. Air Canada a également déposé un avis de lock-out. Paul Arcand montre du doigt le court délai de 72 heures entre l'annonce de la grève et le début du mouvement qui laisse peu de marche de manoeuvre aux voyageurs pour trouver une alternative. «Pour le moment, le gouvernement fédéral regarde la situation et refuse d'intervenir, mais je vous rappelle que c'est quand même 130 000 personnes par jour qui sont touchées par ce conflit de travail.» Autres sujets abordés : Après la cuisante défaite dans Arthabaska François Legault joue à fond la carte de l’humilité; Rencontre entre Poutine et Trump en Alaska demain pour parler de l’Ukraine Le tiers des Québécois ont de la difficulté à gérer leurs émotions.
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