85 % des personnes préposées aux télécommunications dans les centres de gestion des appels de la Sûreté du Québec constatent une hausse de leur charge de travail au cours de la dernière année.
C'est ce que dévoilait hier le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), après avoir sondé ses membres au mois de mars.
La hausse des appels de détresse, liés à la santé mentale ou à des situations de violence complexifie le travail des préposés.
Pour Jimmy Tremblay, président régional du SFPQ, il est primordial que le premier répondant connaisse bien le territoire pour fournir l'aide nécessaire à temps.