Une première entrevue en 20 ans pour les frères Jacques et Raymond Rougeau
Avec
Mario Langlois
«On n'a jamais pris de stéroïdes! On respectait notre métier et on respectait nos fans!» -Jacques et Raymond Rougeau Makar : «Une suspension méritée» -Guillaume Latendresse «La situation de Sorokin ressemble à celle de Price» -Dany Dubé
Écoutez le meilleur des Amateurs de sports du mardi 21 octobre 2015.
Mario Langlois reçoit deux figures du monde du baseball professionnel : Alex Agostino, dépisteur des Phillies de Philadelphie, et Jasmin Roy, dépisteur pour les Blue Jays de Toronto.
Qui remportera la Série mondiale: Dodgers ou Blue Jays? «Mon cœur reste avec les Phillies, mais je suis au Québec, les Jays font vibrer le pays» -Alex Agostino
«S’il y a une équipe qui peut tenir tête aux Dodgers de LA, c’est bien les Blue Jays!» -Jasmin Roy
Tony Marinaro partage ses réflexions franches sur le début de saison des Canadiens de Montréal. S’il sait qu’il n’y aura qu’un seul gagnant de la Coupe Stanley, il insiste sur l’importance d’offrir un bon spectacle aux partisans — et selon lui, c’est exactement ce qu’on a eu au Centre Bell : «On a eu un aperçu des dix prochaines années avec Lane Hutson et Ivan Demidov face aux Sabres.»
Écoutez le meilleur des Amateurs de sports du lundi 20 octobre 2015.
Jakub Dobes obtient le départ contre les Sabres de Buffalo, mais Stéphane Waite met les choses au clair: «Il ne faut pas partir une controverse avec ça». L'ancien entraîneur des gardiens revient d'ailleurs sur le début de saison de Samuel Montembeault, qu’il juge meilleur que ne le laissent croire ses statistiques. «En quatre matchs, il a laissé passer seulement un mauvais but», souligne-t-il, ajoutant que le blâme ne devrait pas reposer uniquement sur les épaules du gardien.
Jasmin Roy, dépisteur des Blue Jays de Toronto, fait part de ses observations sur les séries éliminatoires chez son club, qui se retrouve à une victoire seulement de la Série mondiale. Il salue la maturité impressionnante du jeune lanceur Trey Yesavage, qui gère la pression comme un vétéran à seulement 22 ans.
Écoutez le chanteur et rockeur Éric Lapointe à Ça sent la coupe, le vendredi 17 octobre, aux Amateurs de sports.
Éric Lapointe se confie comme rarement auparavant au micro de Mario Langlois: «Je performe comme j’ai jamais performé...»
Il parle de son nouveau documentaire, brut et sans filtre, dans lequel il souhaitait montrer l’envers du décor.
Passionné de hockey, Éric a joué au centre jusqu’à 40 ans. Il évoque aussi son amour pour le sport en général — le golf (malgré un niveau discutable!), le baseball, et surtout la boxe, qu’il pratique 3 à 4 fois par semaine pour garder l’équilibre. Il y voit d’ailleurs un parallèle entre le ring et la scène.
Aujourd’hui, ses enfants sont au cœur de sa vie. Ils ont été un déclencheur important dans sa transformation personnelle : «Voir sourire mes enfants, ça fait ma journée.»
Anecdotes marquantes au menu : son saut en parachute avec Mario Langlois, qu’il compare à monter sur scène — «Tu peux pas reculer» —, et un party mémorable chez Daniel Brière, terminé dans le coffre d’une voiture avec Max Talbot!
«Je vais pas chanter pour le monde, je vais chanter avec le monde.» Voilà tout l’esprit de l’homme qui, malgré ses zones d’ombre, reste profondément humain. «Les gens m’aiment… ou me détestent à mourir.»
Et pour conclure, en bon fan de hockey: «Je ne sais pas si ça sent la Coupe… mais ça sent vraiment bon!»